Professeur Robert
Faurisson
23/02/12 ::
10:56

Contre
l’Hollywoodisme, le Révisionnisme
Le terme d’Hollywoodisme désigne la
transformation, souvent mensongère, de la réalité
par l’esprit et les pratiques de tout un cinéma
américain. En un premier temps, je traiterai de la
malfaisance en général de l’Hollywoodisme.
En un deuxième temps, je décrirai les méfaits
de l’Hollywoodisme dans la formation de l’imposture
de « l’Holocauste », c’est-à-dire
dans la construction du mythe du génocide, des chambres
à gaz et des six millions de juifs tués pendant
la Seconde guerre mondiale par les Allemands. Enfin, en un
troisième et dernier temps, je parlerai du
Révisionnisme comme antidote par excellence contre
l’Hollywoodisme et son incessant battage en faveur de la
religion de « l’Holocauste ».
1. L’Hollywoodisme et sa malfaisance
Selon
l’American Heritage Dictionary, « Hollywood »
peut désigner « the U.S. film industry »
mais aussi « A flashy, vulgar atmosphere or tone,
held to be associated with the U.S. film industry ».
Employé comme adjectif le mot signifie soit « relating
to the U.S. film industry: a Hollywood movie, a Hollywood
producer », soit, selon la citation offerte :
« Flashy and vulgar, their clothes were pure
Hollywood » (tape-à-l’œil et
vulgaires, leurs vêtements étaient du pur
Hollywood).
Un exemple bien connu de l’idéologie
propagée par cette industrie du film est que le
monde se partage essentiellement entre Bons et Méchants.
Les Bons sont les USA et les Méchants sont ceux que les
USA décrètent tels. Les Bons sont
fondamentalement Bons et les Méchants sont
fondamentalement Méchants. Toujours les USA sont dans
leur droit et gagnent tandis que toujours les Méchants
sont dans leur tort et perdent. Il ne peut, il ne doit donc y
avoir de pitié pour les vaincus : leur défaite
prouve qu’ils étaient bien des criminels. Les
vainqueurs s’arrogeront le droit de juger ou de faire
juger les vaincus.
Tout le monde a en tête ce
qu’on appelle « les atrocités
nazies », en particulier les images de cadavres
ambulants ou de cadavres proprement dits. Depuis maintenant 67
ans Hollywood nous les présente comme la preuve que les
Allemands possédaient des usines de mort où les
SS passaient leur temps à tuer notamment des juifs. En
réalité, ces cadavres étaient la preuve
qu’à cause de la destruction systématique
par les Alliés des villes allemandes, l’Allemagne
de 1945 était à l’agonie : les
habitants qui avaient survécu à ces déluges
de fer et de feu vivaient dans les décombres ou dans
des trous, exposés au froid et à la faim ;
souvent il n’y avait plus guère de nourriture, de
médicaments ; les hôpitaux et les écoles
étaient détruits ; les trains et les
convois ne circulaient à peu près plus ;
les réfugiés de l’Est affolés par
les crimes et les viols de l’Armée Rouge se
comptaient par millions. En 1948 le cinéaste italien
Roberto Rossellini a honnêtement décrit cette
situation dans Germania, Anno Zero. Aussi ne faut-il pas
s’étonner qu’en 1945, dans les camps de
travail ou de concentration, régnaient la disette et
les épidémies de typhus, de fièvre
typhoïde, de dysenterie tandis que les médicaments
et les produits de désinfection tels que le Zyklon B
manquaient cruellement.
Hollywood a eu, avec le
cinéma britannique et la propagande soviétique,
une terrible et directe responsabilité à la fois
dans les mensonges qui ont accompagné ce qu’on a
appelé la découverte des camps de concentration
allemands (1945) et dans l’ignoble lynching party
(l’expression est de Harlan Fiske Stone, président
de la cour suprême des Etats-Unis à l’époque)
du procès de Nuremberg (1945-1946) où les
vainqueurs coalisés se sont faits juges et jury des
vaincus. Il est tout à fait vrai qu’en 1945, même
un camp de concentration privilégié comme celui
de Bergen-Belsen offrait une vision de cauchemar. Mais les
horreurs qu’on y découvrait alors n’avaient
pas été créées par les Allemands.
Elles étaient imputables à la guerre et, en
particulier, à une guerre aérienne
impitoyablement menée jusqu’au bout par les
Alliés contre… les civils. Il fallait un beau
cynisme pour montrer ces horreurs en pointant un doigt
accusateur en direction des vaincus alors que les principaux
responsables en étaient l’US Air Force et la
Royal Air Force. En avril 1945, n’y tenant plus, le
commandant du camp de Bergen-Belsen, le capitaine SS Josef
Kramer, avait alors envoyé des hommes au-devant des
troupes du maréchal britannique Montgomery pour les
prévenir qu’ils approchaient d’un terrible
foyer d’infection et qu’il ne fallait pas relâcher
immédiatement les détenus sous peine de voir ces
derniers contaminer la population civile et les soldats
britanniques. Ces derniers ont accepté de collaborer
avec la Wehrmacht. Arrivés sur place, ils ont retenu
les internés et tenté de les soigner mais la
mortalité est longtemps restée épouvantable.
Les Britanniques ont voulu savoir combien de personnes avaient
été enterrées dans de vastes fosses
communes. Ils ont extrait les cadavres, les ont comptés,
puis, s’aidant d’un bulldozer, un officier
britannique a repoussé ces cadavres en direction de six
grandes fosses où les soldats britanniques ont forcé
des gardiennes SS à jeter à mains nues les
cadavres dans les fosses. Mais très vite cette réalité
a été transformée par les services de la
propagande cinématographique. On a fait croire que ces
cadavres étaient ceux de gens tués dans le cadre
d’un prétendu programme d’extermination.
Une photographie prise d’avion et montrant au loin le
bulldozer a permis de faire croire que l’engin était
conduit par un soldat allemand en train d’effectuer sa
besogne quotidienne d’employé d’une usine
de mort. Dans un cas, une photo prise de près montrait
le bas de l’engin poussant des cadavres mais elle
« décapitait » le chauffeur de
sorte que, ne pouvant pas voir qu’il s’agissait
d’un Britannique, on s’imaginait que le chauffeur
était allemand. D’une manière générale,
les Américains ont multiplié les falsifications
de cette nature. Le généralissime américain
Eisenhower a été le grand organisateur de cet
Hollywoodisme exacerbé. On a fait venir sur place, en
uniforme de lieutenant-colonel, le fameux cinéaste
hollywoodien George C. Stevens. Son équipe a tourné
80 000 pieds de film dont il a sélectionné pour
le procureur adjoint Donovan 6 000 pieds (soit 7,5% du total).
Ce sont ces morceaux soigneusement choisis par l’accusation
américaine qui, le 29 novembre 1945, presque en levée
de rideau de l’infâme « Procès
de Nuremberg », ont été projetés
à la stupéfaction du monde entier ;
certains des accusés allemands, bouleversés, en
ont déduit que Hitler avait, dans leur dos, perpétré
un énorme crime. C’est en ce sens qu’on
peut dire du « Procès de Nuremberg »
qu’il a marqué le triomphe de l’Hollywoodisme.
2. L’Hollywoodisme dans la construction du
mythe de « l’Holocauste »
« L’Holocauste »
des juifs est ensuite devenu une sorte de religion dont les
trois principales composantes sont l’extermination, les
chambres à gaz et les six millions de martyrs. Selon un
article de foi de cette religion Hitler aurait ordonné
et planifié le massacre systématique de tous les
juifs européens ; ce faisant, il aurait commis un
crime sans précédent, un crime spécifique,
plus tard appelé génocide. Puis, afin de
perpétrer ce crime spécifique, il aurait
notamment fait mettre au point une arme spécifique, une
arme de destruction massive, la chambre à gaz,
fonctionnant en particulier avec un puissant insecticide, le
Zyklon B fait à base d’acide cyanhydrique. Enfin
le résultat de cet énorme crime aurait été
la mort de six millions de juifs européens. Le camp
d’Auschwitz-Birkenau aurait été le point
central, le point culminant, le Golgotha de cette horreur.
Après la guerre il s’est développé
autour de cette sainte trinité de « l’Holocauste »
toute une propagande, toute une industrie de « l’Holocauste »,
tout un commerce : le « Shoa-Business ».
Aux Etats-Unis, l’industrie du cinéma s’est
nourrie de cette croyance et l’a propagée dans
tout le monde occidental. C’est surtout à partir
de 1978 qu’une telle propagande s’est développée
en particulier avec les quatre épisodes de la
mini-série américaine Holocaust racontant la
saga de la famille Weiss. Il n’est pas exagéré
de dire que la projection de ce feuilleton est devenue, à
partir de 1979, quasiment obligatoire dans toute une partie du
monde. Elle a déclenchée un torrent de films
parmi lesquels, de Steven Spielberg, La Liste de Schindler, de
Roberto Benigni, La Vie est belle, de Roman Polanski, Le
Pianiste. En France, en 1985, Claude Lanzmann nous a gratifiés
d’un documentaire-documenteur de plus de neuf heures:
Shoah. Le nombre d’Emmy Awards, d’Oscars ou
d’autres récompenses attribués à
des films de ce genre est stupéfiant. Un mogul de
l’Entertainment Industry, Andrew Wallenstein, a un jour
déclaré dans The Hollywood Reporter :
« Disons-le, simplement : la raison pour laquelle
on voit tant de films sur l’Holocauste est qu’ils
sont des appâts pour obtenir des prix. »
C’est de telles constatations qu’est née la
formule « There’s No Business Like Shoa
Business », inspirée du refrain, notamment
chanté par Liza Minnelli, de la chanson « There’s
No Business Like Show Business ».
3. Le
Révisionnisme est un antidote au poison de
l’Hollywoodisme
Le Révisionnisme n’est
pas une idéologie mais un remède à la
tentation de l’idéologie. Il est une méthode.
Qu’il s’agisse de littérature, de science,
d’histoire, de médias, qu’il s’agisse
de quelque activité humaine que ce soit, il préconise
qu’on établisse la réalité d’un
fait préalablement à toute considération
sur ce fait. Ce qu’on croit avoir vu, entendu ou lu, il
faut à nouveau le voir, l’entendre, le lire. Il
faut se défier des impressions premières, des
émotions, de la rumeur, ne se fier à rien ni à
personne aussi longtemps qu’on n’a pas mené
à fond sa propre enquête, et cela d’autant
plus si l’on étudie une rumeur de guerre car, ne
l’oublions pas, en temps de guerre la première
victime est la vérité.
Le peu de
temps qui me reste ne me permet malheureusement pas de décrire
ici comment et à quel prix en une cinquantaine d’années
de recherches je suis parvenu, avec bien d’autres
révisionnistes, à la conclusion que
« l’Holocauste » n’est
décidément qu’une gigantesque imposture
comme j’avais pu m’en convaincre au bout de
quelques années. Déjà le 17 décembre
1980 je résumais cette conclusion en une phrase de
soixante mots français dont aujourd’hui je ne
vois pas un mot à retirer. Voici cette phrase : « Les
prétendues chambres à gaz hitlériennes et
le prétendu génocide des juifs forment un seul
et même mensonge historique qui a permis une gigantesque
escroquerie politico-financière dont les principaux
bénéficiaires sont l’Etat d’Israël
et le sionisme international et dont les principales victimes
sont le peuple allemand – mais non pas ses dirigeants –
et le peuple palestinien tout entier ».
Pour
se faire une idée des victoires spectaculaires
remportées contre cette imposture, grâce aux
travaux des révisionnistes, on pourra se reporter à
deux études qui figurent dans mon blog : « Les
Victoires du Révisionnisme » (11 décembre
2006) et « Les Victoires du Révisionnisme (suite)
» (11 septembre 2011). Il n’est pas exagéré
de dire qu’actuellement en France et ailleurs dans le
monde les auteurs qui défendaient la thèse de
« l’Holocauste » sont en pleine
déroute. Le malheur est que la censure et la répression
empêchent encore le grand public de connaître
cette bonne nouvelle ; mais avec Internet, les temps
changent et vite.
Conclusion
La croyance
générale du monde occidental en « l’Holocauste »
a longtemps été l’épée et le
bouclier du sionisme. Mais aujourd’hui le Révisionnisme
met cette croyance en péril. Cette conférence
sur l’Hollywoodisme marquera, je pense, une étape
de plus dans notre lutte commune, une lutte pour les droits de
tous – en particulier des Palestiniens –, une
lutte pour que le monde entier se libère d’une
tyrannie fondée sur le Plus Grand Mensonge des temps
modernes.
Notas
:
1 - Mouseland
C'est l'histoire
d'un pays peuplé de rats qui avaient élu un
gouvernement composé de chats noirs. Les chats noirs
étaient très gentils et votaient de lois... Des
lois pour les chats noirs (voir vidéo …
lien non-reproduit)
2 - LE PEN
– USA MÊME COMBAT ! == LE « CHOC DES
CIVILISATIONS »
L’actualité
révèle parfois des coïncidences
éclairantes. - d’un côté, Mme Le
Pen, qui ne parle plus du tout de la question européenne,
profère des mensonges éhontés en assurant
que « l’ensemble de la viande qui est distribuée
en Ile-de-France, à l’insu du consommateur, est
exclusivement de la viande halal ».
Cette
affirmation burlesque a été démentie
immédiatement, non seulement par les services du
ministère de l’agriculture, mais aussi par les
syndicats professionnels de la boucherie qui se sont insurgés
devant une pareille énormité. D’après
les chiffres officiels, la viande hallal et la viande cachère
représentent 2,5 % des 200.000 tonnes de viande
consommées chaque année en
Ile-de-France. [source :
http://www.lexpress.fr/actualite/politique/viande-halal-marine-le-pen-persiste-et-signe_1084702.html]
-
de l’autre côté, on apprend que des
milliers d’Afghans sont en train de manifester
violemment mardi devant la plus grande base militaire
américaine de Bagram (Afghanistan), près de
Kaboul. Les soldats américains ont en effet rien trouvé
de mieux à faire que d’y brûler pendant la
nuit « un nombre important de documents islamiques, dont
des corans », selon l’aveu même du
commandant en chef de la force internationale de l’OTAN
(ISAF), le général américain John
Allen.
CONCLUSION : LA FAMILLE LE PEN AU SERVICE DU
SYSTÈME EURO-ATLANTISTE
En quoi la
dénonciation de la viande « hallal » (mais
curieusement pas de la « viande cacher ») est-elle
un sujet d’actualité ? Et en quoi est-ce du
niveau de l’élection présidentielle ?
En
lançant de façon totalement artificielle une
nouvelle polémique nauséabonde, Mme Le Pen
prouve encore une fois qu’elle exécute
minutieusement le programme que le Système
euro-atlantiste attend d’elle.
Loin de
dénoncer l’asservissement en cours de la France
par les forces euro-atlantistes, elle fait mine de critiquer
l’euro et l’UE sans jamais proposer d’en
sortir, elle cache les origines réelles de la
construction dite « européenne », elle
respecte l’omerta sur la teneur de l’article 50 du
TUE, et elle salit toute idée de libération
nationale par des déclarations mensongères et
tonitruantes de pilier de bistrot.
Comme c’était
déjà l’objectif de son père depuis
30 ans, l’objectif de Mme Le Pen est ainsi : - de
semer l’inégalité et la discorde entre les
Français (et non pas « l’égalité
et la réconciliation »…), - de pourrir
tout débat sur la question européenne, - de
détourner une grande majorité des électeurs
de l’idée de souveraineté nationale en
l’assimilant à de la xénophobie, - et
de servir l’empire euro-atlantiste en jetant constamment
de l’huile sur le feu du prétendu « Choc
des civilisations » promu par les think-tanks
américains.
http://www.u-p-r.fr/
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